Sunday, February 28, 2010
Saturday, February 27, 2010
Thursday, February 25, 2010
Wednesday, February 24, 2010
Ne pas lui dire, lui cacher ces choses encore un peu, ne pas lui apprendre que le désir arrache tout, qu'aussitôt qu'on y met un doigt, le corps suit tout entier. Mais je l'informerai, certes, en temps et lieu, je lui dirai qu'il y a ceux qui font semblant et les autres qui se perdent en courant après, et pas grand possibilités entre les deux. Qu'on s'attache à ceux qui nous repoussent et qu'on rejette ceux qui s'approchent. Que ça devient étourdissant, que ça fait vieillir prématurément.
- marie hélène poitras
Tuesday, February 23, 2010
On n'aime les êtres que quand ils nous rejettent ou nous échappent. J'aurais pu l'aimer sans la connaître ni la toucher, ni même entrer dans sa vie. Tout est de ma faute: cette histoire se termine parce qu'un jour je l'ai inaugurée. C'est l'histoire d'un homme seul qui se demande qui il est et ce qu'il fout là. Il se croit libre, tombe amoureux, découvre le bonheur, puis le bonheur s'en va, et il s'aperçoit qu'il hait sa liberté. Même le pitch de ma vie est banal.
-Frédéric Beigbeder, L'Égoïste romantique.
-Frédéric Beigbeder, L'Égoïste romantique.
Sunday, February 21, 2010
Thursday, February 18, 2010
Tuesday, February 16, 2010
Monday, February 15, 2010
Sunday, February 14, 2010
Friday, February 12, 2010
Thursday, February 11, 2010
Wednesday, February 10, 2010
Sunday, February 7, 2010
Friday, February 5, 2010
Je pense à toi tout le temps. Je pense à toi le matin, en marchant dans le froid. Je fais exprès de marcher lentement pour pouvoir penser à toi plus longtemps. Je pense à toi le soir, quand tu me manques au milieu des fêtes.Je pense à toi quand je te vois et aussi quand je ne te vois pas. J’aimerais tant faire autre chose que penser à toi mais je n’y arrive pas.
Tuesday, February 2, 2010
"Le matin lorsque j'ai ouvert les yeux, je pleurais. Il en allait tous les jours ainsi. Je n'aurais même pas su dire si c'était de la tristesse. Les larmes emportaient tous mes sentiments avec elles.
La neige qui s'était accumulée à l'extrémité des branches se décrochait de temps en temps et chutait avec un bruit sourd sur le manteau blanc, immaculé, recouvrant l'herbe. En me retournant, j'ai pu voir la mer. La mer hivernale, paisible, calme, d'un bleu limpide. Où que je porte mon regard, j'étais aspiré vers des souvenirs pleins de nostalgie. J'ai vissé fermement un couvercle sur mon coeur; j'ai tourné le dos à la mer.
Tout était silencieux. On aurait dit qu'il n'y avait plus personne au monde."
Un cri d'amour au centre du monde, Kyoichi Katayama
La neige qui s'était accumulée à l'extrémité des branches se décrochait de temps en temps et chutait avec un bruit sourd sur le manteau blanc, immaculé, recouvrant l'herbe. En me retournant, j'ai pu voir la mer. La mer hivernale, paisible, calme, d'un bleu limpide. Où que je porte mon regard, j'étais aspiré vers des souvenirs pleins de nostalgie. J'ai vissé fermement un couvercle sur mon coeur; j'ai tourné le dos à la mer.
Tout était silencieux. On aurait dit qu'il n'y avait plus personne au monde."
Un cri d'amour au centre du monde, Kyoichi Katayama
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