« Alternance de joie et de peine. » La vie était une bostella schopenhauerienne. On dansait quand tout allait bien, pour lutter contre la morosité du bonheur. On tombait par terre quand tout allait mal, pour dormir sur ses ruines.
- Frederic Beigbeder, Mémoires d'un jeune homme dérangé
- Frederic Beigbeder, Mémoires d'un jeune homme dérangé
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