Saturday, January 31, 2009
Friday, January 30, 2009
Dandy, dandy, where you gonna go now? Who you gonna run to? All your little life you're chasing all the girls. They cant resist your smile. Oh, they long for dandy, dandy. Checkin out the ladies,tickling their fancy, pouring out your charm to meet your own demands, and turn it off at will. Oh, they long for dandy, dandy. Knockin on the back door, climbing through the window, hubbys gone away, and while the cats away, the mice are gonna play. Oh, you low down dandy, dandy. Dandy, you know youre moving much too fast, and dandy, you know you cant escape the past. Look around you and see the people settle down, and when youre old and grey you will remember what they said, that two girls are too many, threes a crowd and four youre dead. Oh dandy, dandy, when you gonna give up? Are you feeling old now? You always will be free, you need no sympathy, a bachelor you will stay, and dandy, youre all right.
Wednesday, January 28, 2009
Tuesday, January 27, 2009
Monday, January 26, 2009
not knowing you (not trying to). being alone (& cold). trying to drown in a bubble bath (closed-space, no oxygen). being good at disappearing. hiding my face in a giant scarf (it’s hard to breathe without somebody). drawing constellations on my bruised legs with dirty ink. scratching my body with royal blue nails (blood and skin underneath). bones not showing. trying to escape reality. dreaming of you selling lollipops. waking up with shaking hands.
Sunday, January 25, 2009
lula et ses belles images.
pourtant il t'as dit qu'il pensait si souvent aux soirées, ou ton corps lui semblait n'etre que de la soie. et qu'il lui plaisait tant. te regarder si seule, le froler de tes doigts. en arracher un souffle, un soupir, un instant, qu'il aimerait partager, sans en avoir le droit, mais le faire en disant, que c'est pour profiter, une toute derniere fois, de tes yeux insolents. pourtant, oh oui pourtant, tes yeux noirs étaient un présage. mais on n'apporte pas de sable a la plage.
Saturday, January 24, 2009
Tuesday, January 20, 2009
Monday, January 19, 2009
Sunday, January 18, 2009
Saturday, January 17, 2009
En me réveillant ce matin, malgré mon corps emmitouflé sous les draps, j’ai bien senti que l’air était glacial. À moitié nue, frissonnant, j'enfile en vitesse une robe noire plutôt courte, des bas collants noirs, un cardigan noir, des bottes noires et une épaisse couche de mascara noir, pour ne pas trop effrayer les gens qui me croiseront. Je me regarde quelque instant dans la glace en me disant qu’effectivement, je suis aussi laide qu’hier et que mes cheveux sont horribles, mais que le noir me va à merveille. Tant pis pour les cheveux, j’enfonce un large béret noir sur ma tête. Avant de refermer la porte de ma chambre, je jette un dernier coup d’œil à mon immense lit, désertique, froid, triste et blanc. Mon lit est comme moi. Je suis une copie conforme de mon lit ... en plus humaine.
En marchant dans la rue, j’observe les feuilles d’arbres flottant dans l’air et retomber sur le sol. Ma tête est ailleurs, il est seulement 6h00 du mat. et tu es encore la, bien incrusté dans mon cerveau, le tout est accompagné d’une jolie musique de fond (‘more sex, more goodbyes, i love you and i, i won’t let myself let you go…’) Je souris comme une idiote en pensant à tes mains, l'angle de ta machoire, tes cheveux, ton corps nu, tes mots, ton visage et tes yeux, tes yeux ; le seul endroit ou je me sens belle.
(...)
Tu m’as éblouis, ton soleil droit dans mes yeux, je n’y voyais plus rien et j’ai bien failli y perdre la vue.
Tu ne crois pas que ce serait bien de faire comme les feuilles, a l'automne, et de tomber ? de tomber à une vitesse folle, sans trop y penser… de tomber en amour ?
Et tu vois, j’ai l’impression que rien n’est tout-a-fait fini. Ou plutôt que rien n’a commencé. Que je peux encore rever sans me faire de mal, de fausses joies.
En marchant dans la rue, j’observe les feuilles d’arbres flottant dans l’air et retomber sur le sol. Ma tête est ailleurs, il est seulement 6h00 du mat. et tu es encore la, bien incrusté dans mon cerveau, le tout est accompagné d’une jolie musique de fond (‘more sex, more goodbyes, i love you and i, i won’t let myself let you go…’) Je souris comme une idiote en pensant à tes mains, l'angle de ta machoire, tes cheveux, ton corps nu, tes mots, ton visage et tes yeux, tes yeux ; le seul endroit ou je me sens belle.
(...)
Tu m’as éblouis, ton soleil droit dans mes yeux, je n’y voyais plus rien et j’ai bien failli y perdre la vue.
Tu ne crois pas que ce serait bien de faire comme les feuilles, a l'automne, et de tomber ? de tomber à une vitesse folle, sans trop y penser… de tomber en amour ?
Et tu vois, j’ai l’impression que rien n’est tout-a-fait fini. Ou plutôt que rien n’a commencé. Que je peux encore rever sans me faire de mal, de fausses joies.
Thursday, January 15, 2009
an apprehension for reality, the death of the flower,
the collapse of hope, the crush of
wasted years, the nightmare faces,
the mad armies attacking for no reason at all
and/or
old shoes abandoned in old corners like half-forgotten
voices that once said love but did not mean
love.
see the face in the mirror? the mirror in the
wall? the wall in the house? the house in the
street?
now always the wrong voice on the telephone
and/or
the hungry mouse with beautiful eyes which now lives in
your brain.
the angry, the empty, the lonely, the
tricked.
we are all
museums of fear.
Wednesday, January 14, 2009
Friday, January 9, 2009
since feeling is first
who pays any attention
to the syntax of things
will never wholly kiss you;
wholly to be a fool
while Spring is in the world
my blood approves,
and kisses are a far better fate
than wisdom
lady i swear by all flowers. Don't cry
--the best gesture of my brain is less than
your eyelids' flutter which says
we are for eachother: then
laugh, leaning back in my arms
for life's not a paragraph
And death i think is no parenthesis
Wednesday, January 7, 2009
Monday, January 5, 2009
Saturday, January 3, 2009
Friday, January 2, 2009
Subscribe to:
Posts (Atom)